Fondée en 2004 par des consultants en communication expérimentés, UltraFinances réunit aujourd’hui des professionnels aux profils variés. Notre société prend en charge les projets et dispositifs de communication des sociétés cotées sur les bourses de Paris, New-York et Londres. C’est un pool de compétences en finances, marketing, droit (en particulier droit boursier et droits des sociétés), fiscalité, économie et en communication.
Depuis sa création, UltraFinances s’est orientée vers la qualité et les meilleures pratiques : elle est devenue une référence en matière d’innovation dans la communication.
dans le domaine juridique (droit des sociétés, droit boursier, etc), en finance (actions, obligations, etc) ou en épargne salariale. Expertise et assistance sont également fournies en marketing financier, en fiscalité, ou encore en communication d’entreprise et community management.
de notre équipe expérimentée et pluridisciplinaire qui délivre des prestations sous les référentiels qualités de nos clients (Iso 9001, etc). Notre organisation et nos méthodes sont régulièrement analysées afin de garantir la rigueur et l’éthique indispensables dans nos métiers.
pour des communications vidéo, des présentations interactives, des pages internet, des applications mobiles, des lettres et guides de l’actionnaire en versions numériques ou sous forme de dépliants.
Nous gérons la réception et les réponses aux appels, courriers et courriels des actionnaires individuels et salariés de nos clients. Nous fournissons également des contenus techniques à haute valeur ajoutée pour les Lettres, Guides et communications aux actionnaires
Nos expertises et conseils sont mis à la disposition de nos clients pour leur communication sur tout type d’opérations (OPA, OPE, augmentation de capital, sollicitation de proxy, campagne ou sondage d’opinion, préparation d’assemblée générale) et de supports
Nous proposons des solutions clé en mains pour gérer vos relations actionnaires : serveur vocal, numéro vert, flux d’informations, messagerie vocale, espaces actionnaires. Nous assurons également la logistique des envois de documents, et produisons des contenus vidéo et multimédias
Vidéo diffusée sur le Webzine de Total à l'intention des actionnaires individuels du Groupe
En voir plusApplication pour PC et tablettes visant à aider l'utilisateur à comprendre à son rythme divers sujets
En voir plusPlateforme d'accès à des formations en ligne
En voir plusVidéo sur les modalités de participation à l'Assemblée générale du Groupe Renault
En voir plusVidéo E-Learning sur le rôle des intermédiaires financiers
En voir plusVidéo permettant de découvrir le nouveau site du Cercle des actionnaires de Total
En voir plusFormulaire en ligne de candidature au Comité Consultatif des Actionnaires de Total
En voir plusVidéos didactiques où un animateur virtuel s'exprime sur l'actualité d'une société
En voir plusLes annonces de rachat d’actions des grandes entreprises américaines et françaises se sont succédées tout au long de cette année 2016 : Microsoft, Target, Apple, Prodware, ou encore pour la France, Sanofi, Carrefour, AXA, Air Liquide, Vivendi...
Est-ce l’effet de l’abondance de trésorerie face à la rareté des cibles ayant un haut potentiel mais avec un prix d’acquisition « raisonnable » ou est-ce la logique de stratégies financières efficientes ?
Quoiqu’il en soit, ce procédé, qui permet aux entreprises d’acquérir une partie de leurs actions en circulation, semble bien devenir une voie royale. Rien qu’au sein du CAC40, l’indice phare de la place de Paris, 34 entreprises sur 40 ont adopté un tel programme lors de leur assemblée annuelle 2016 et près de 80% de celles-ci l’ont déjà, au moins en partie, mis en œuvre. Cette pratique semble même devoir perdurer à en croire les prévisions de certains groupes comme Total qui l’a inscrite dans ses perspectives futures, bien qu’elle soit liée à des conditions particulières dans ce cas.
Mais quelles sont les modalités de ces opérations et quels objectifs poursuivent-elles ?
Plusieurs sociétés ou groupes ont choisi de s’en servir pour récompenser leurs salariés, en redistribuant les titres ainsi acquis dans le cadre d’un plan d’attribution d’actions ou de stock-options. Ainsi, 80% des rachats d’actions opérés par les entreprises du CAC40 depuis le 1er janvier dernier ont été affectés à cette fin. Mais la tendance est aussi de procéder à l’annulation de ses titres (exemple de Vivendi qui a procédé, en juin 2016, à une annulation d’actions représentant 6,35% de son capital social) en offrant de facto un retour aux actionnaires qui ne sauraient qu’apprécier. Ces derniers peuvent même parfois faire « coup double » en cumulant les retours comme chez Microsoft, ou American Express, qui ont annoncé qu’elles racketteraient leurs actions tout en augmentant leur dividende 2017. La plupart du temps, les marchés ont plutôt bien réagi à ce type d’information en offrant par exemple un gain de 1% aux titres de Microsoft et d’American Express dans la journée de cette annonce.
Le contexte économique morose, les marchés baissiers ainsi que les cours volatils des actions semblent également donner raison à ces décisions. Cependant, ces sommes ne devraient-elles pas plutôt permettre de stimuler la recherche et le développement ou d’acquérir des start-ups innovantes ?
À chaque entreprise sa stratégie : en annonçant le rachat de son concurrent Chemtura, le chimiste Lanxess a, lui, déclaré renoncer à son programme de rachat d’actions d’un montant de 200 millions d’euros.
Mais des contestations à cette affectation de ressources peuvent naître et se feraient même de plus en plus nombreuses, à en croire le rapport Proxinvest sur les Assemblées générales 2011 : le taux d’approbation de ces autorisations est en effet passé de 99,3% en 1999 à 93,8% en 2011. Bien que cette opération apparaisse comme une « rémunération de l’actionnaire », au travers de la réduction de la dilution du capital, l’effet relutif ne peut s’observer que si le bénéfice par action augmente, ce qui peut parfois poser problème en période de crise.
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